Samcheok diary : Roses festival
- 16 mars 2019
- 2 min de lecture
Montagnes.
Forêts.
Villages et villes.
Le paysage coréen défile devant nos yeux alors que nous nous rapprochons de notre destination.
Samcheok n’est ni très grande, ni très connue, mais si nous l’avons choisie pour ce week-end, c’est avant tout pour son festival des roses.
Le car nous dépose à quelques rues de l'endroit où a lieu l'événement : un petit parc extrêmement fleuri. L’ambiance est agréable et nous faisons gentiment le tour de toutes les installations. Au milieu des jardins colorés, on copie les coréens en jouant tour à tour aux modèles et photographes au milieu des roses.
Je ne résiste pas à l'envie de m’acheter une couronne de fleurs (je suis faible, que voulez-vous), puis nous tombons sur un stand de sucreries coréennes dont certaines paraissent si étranges que nous sommes obligés de les tester ! Tom et moi repartons donc avec notre petit sachet de gourmandises. Tour à tour, nous testons nos choix de confiseries traditionnelles qui se révèlent parfois étranges, parfois délicieuses.
Sucré.
Salé.
Gingembre.
Piment. Outch ! De l’eau !
Le festival est autant destiné aux petits qu'aux grands, mais il ne nous permet pas d’occuper toute l’après-midi.
Nous décidons donc de partir à la découverte de la ville. Sans aller très loin, nous commençons à nous perdre pour mon plus grand bonheur ! Mais mes compagnons de route ne sont pas aussi enthousiastes, surtout lorsqu'au détour d'un chemin, la route se transforme littéralement en un immense trou. C'est la goutte d'eau ! Fatiguée, la moitié du groupe capitule, alors que je redouble d'enthousiasme.
Je continue donc d’arpenter les petits sentiers de Samcheok accompagnée de Théo, tandis que Tom, Gwendoline et Lise décident de trouver la guest house avant la tombée de la nuit.
Nous revenons sur nos pas pour suivre une voie de chemin de fer désaffectée qui nous conduit jusqu'à la mer. L’endroit est vraiment très beau. Samcheok n’est pas la ville coréenne qui fait le plus rêver, mais elle a assez de charme pour qu’on puisse avoir envie de s’y installer. Mon insipide intrépidité a donc été comblée jusqu'à ce que nous rentrions épuisés à la tombée de la nuit !
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